Si l’exécutif affiche un réel volontarisme en matière de réindustrialisation, le chemin reste encore long.

Lundi 7 mars 2022

 

Depuis le 28 avril 2021, les experts du Groupe ALPHA publient une Chronique mensuelle sur le site d’informations RH, actuEL-RH.

Ce mois-ci, retrouvez la tribune d’Emmanuel Gastineau, consultant Secafi, et de Patrick Taler, consultant Sémaphores, Associé Groupe ALPHA.

Nos plus vifs remerciements à la rédaction pour son accès libre.

“La revitalisation de notre appareil productif et la restauration de notre souveraineté nationale sont intimement associées dans la presse et considérées comme une impérieuse nécessité. Mais est-ce possible ? Le déplacement massif des productions ces 20 dernières années a entraîné celui de chaînes logistiques d’approvisionnement, aujourd’hui également critique. Plus on a réduit nos capacités industrielles, plus le besoin de compétences associées a diminué et moins l’offre de formation se développe… Où trouver aujourd’hui des techniciens salles blanches ou des électromécaniciens ?”

Quelle vitalité industrielle pour la France en 2022 ?

“Ensemble, entreprises et collectivités doivent réinvestir fortement dans l’identification des métiers porteurs et l’évolution des compétences. Les filières industrielles comptent aujourd’hui un trop grand nombre de métiers en tension et un fort besoin d’adaptation de leurs compétences. Cette réalité nuit à tout projet de développement industriel ou de relocalisation. La possibilité offerte aux entreprises de créer leurs propres centres de formation est une bonne chose. Elle doit se concrétiser. Derrière le concept de réindustrialisation se cache un capital humain qu’il faut préserver, accompagner et former pour attirer, sur leurs talents et savoir-faire, des investisseurs et mobiliser sur les métiers de demain.

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